Il s'agissait de clauses très défavorables, à la fois pour le SIAEAG et pour les communautés d'agglomération. Je pourrais même affirmer que « la planche a été savonnée. »
Il est très mauvais de prendre des décisions aussi importantes dans un laps de temps aussi court, et sous la pression sociale. On a acheté la paix sociale, et les Guadeloupéens en paient aujourd'hui le prix fort.
Il faut avouer que certains salaires sont surdimensionnés, même si ce n'est pas la seule cause. Si certaines causes ont pesé par le passé, et qu'elles ont créé une situation qui a causé du tort, je vous parle ici du présent et des conséquences qui risquent de demeurer dans le futur.
Il faut purger cette situation, faute de quoi le syndicat sera dès le départ handicapé par sa masse salariale et par la gestion de son personnel.