Nous étions parvenus au terme d'une négociation gagnant-gagnant. Celle-ci nous garantissait un repreneur qui avait la volonté de s'investir et d'améliorer la relation avec la clientèle.
Il n'aurait pas été souhaitable de conserver un fermier qui ne voulait plus rester. En principe, il aurait dû se retirer deux ans auparavant, mais les termes de la négociation de sortie ne nous convenaient pas.
La négociation, qui devait durer trois mois, s'est finalement étendue sur deux ans. Nous avons accepté les conditions de sortie lorsque nous avons estimé qu'elles nous étaient favorables. Depuis, la qualité de la relation avec l'usager s'est grandement améliorée.