La chambre régionale de l'économie sociale et solidaire s'apprête à lancer une enquête, comme au sortir de la crise sanitaire, afin d'obtenir des éléments plus palpables.
Un de nos adhérents a ouvert des salons de coiffure pour les personnes en situation précaire. Il subit les mêmes dommages que ceux qui exploitent des salons classiques. Pire encore, l'impossibilité où il se trouve d'exercer son activité prive de ses services des personnes déjà vulnérables.
Les problèmes d'eau confrontent les associations d'aide à la personne à de doubles difficultés : le travailleur envoyé au domicile d'un habitant privé d'eau ne peut pas effectuer son travail et l'habitant en question se retrouvé privé d'aide.
Nous diligenterons donc une enquête pour que nos adhérents nous exposent leur situation relativement à l'eau. Nous répondrons à chaque fois présents pour faire entendre leur voix. En Guadeloupe, plus de 70 % des entreprises du secteur social et solidaire comptent moins de 10 salariés. Il ne faut pas les oublier car leur maillage du territoire contribue à la solidarité et à l'humanité.