J'ai simplement dit que le SIAEAG n'avait pas de cabinet technique. Il n'employait à l'époque qu'une secrétaire. Nous n'avons pas imposé la loi. Nous n'avons fait qu'améliorer les choses. La preuve en est que, quand nous avons pris conscience d'être bernés, nous avons embauché de jeunes Guadeloupéens au SIAEAG. Forts de leur amour pour la Guadeloupe, ils nous ont montré en quoi nous étions défaillants, ce que n'a pas apprécié la Générale des eaux.