Je n'ai pas dit que la Générale des eaux nous reversait ce qu'elle voulait, mais simplement que nous n'avions pas accès au contrat, ce qui ne nous permettait pas de vérifier si elle assurait ses obligations.
En tant que maire de Capesterre-Belle-Eau, nous recevions de la Générale des eaux des factures portant sur des périodes de six mois antérieures à leur émission. Ces factures indiquaient la proportion de la part syndicale qui nous revenait. Heureusement, la chambre régionale des comptes est intervenue. Il n'était pas normal que revienne aux communes de l'argent qui aurait dû aller directement au SIAEAG.