La Générale des eaux considérait que ses marchés sur le territoire étaient à perte. J'ai pu notamment le constater lorsqu'elle a décidé de se retirer de la communauté d'agglomération du Nord Basse-Terre.
Or, à la suite de l'analyse de leurs comptes à laquelle j'ai pu procéder en 2013, j'ai pu constater que les marges qui apparaissaient sur les facturations entre mère et fille étaient discutables. La Générale des eaux a d'ailleurs accepté de les réduire de 30 %, ce qui laisse penser que l'activité n'était pas si déficitaire qu'elle le laissait entendre.