Ces conditions sont à la fois matérielles et juridiques.
Pour les partenaires, il s'agit de collaborer à la mise en place de ce SMO.
D'une part, il faudra se référer au passé pour ne pas reproduire les erreurs.
De plus, la mise en place d'une gestion unique sera nécessaire, puisqu'en Guadeloupe, c'est bien ce qui a manqué concernant divers domaines qu'il s'agisse de l'eau ou des déchets.
Il faudra aussi trouver les moyens financiers indispensables aux investissements, restaurer l'exploitation, valoriser les moyens à notre disposition.
Disposer de moyens financiers pour les investissements sera capital. À ce titre, tous les partenaires devront jouer le jeu.
Le problème de l'eau ne date pas d'hier, des manquements ont vraisemblablement été opérés à tous les niveaux et les partenaires doivent trouver les moyens d'instaurer une meilleure gestion de l'eau, tant pour les investissements que pour le traitement social.
À cet effet, le partenariat devra être élargi et impliquer les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI), l'État et tous ceux qui seront utiles à la restauration de l'exploitation et à l'amélioration de l'efficacité et de la rentabilité.
Il est essentiel de fournir de l'eau aux Guadeloupéens, chez eux, afin qu'ils puissent y vivre. C'est d'autant plus important qu'il s'agit d'une ressource naturelle qui est présente. Elle mérite donc d'être exploitée convenablement, mieux gérée et mieux distribuée.
Aussi, il est essentiel de mettre en place les moyens nécessaires aux investissements futurs. Aussi, nous attendons beaucoup de l'État et de l'Europe, car nous estimons que les efforts doivent être partagés.
Il est important de rassurer les Guadeloupéens afin de ramener la confiance.