Je souhaiterais répondre à votre question précédente. Il est évident qu'il s'agit d'un choix d'ordre politique auquel je suis totalement étranger, mais ma position est identique à celle de M. Jean-Louis Francisque, même si les conditions d'exploitation directe sont difficiles.
Nous sommes amenés à suivre un mouvement qui n'est pas naturellement le nôtre. Aussi, nous aurions préféré conserver cette compétence.
Concernant la présence grandissante des acteurs privés, le sujet de la mainmise du secteur privé sur l'eau n'est pas une question pertinente sur Sainte-Rose. En effet, nous recourrons éventuellement à ces sociétés comme prestataires lors de travaux, comme des constructions d'usine. Il s'agit donc de marchés publics attribués tout à fait clairement.