Cette part des montants récupérés via la facturation revient au délégant. Une autre part encore correspond aux taxes telles que l'octroi de mer et à la contribution aux investissements.
En Guadeloupe, les taux d'impayés élevés, qui frôlent parfois les 50 %, pénalisent les opérateurs publics comme le SIAEAG. Il leur est dès lors difficile de disposer de moyens adéquats pour ne serait-ce qu'exploiter le réseau. La collectivité censée récupérer une part des sommes prélevées par la facturation pour réaliser des investissements peine également à y procéder.