La mémoire me fait défaut, mais il suffit de voir aujourd'hui où le réseau s'est le plus dégradé. Ailleurs, les collectivités ont tenu compte de nos recommandations, en particulier en Grande-Terre, le territoire le plus sec de l'île, où l'eau potable est arrivée le plus tard. Les décideurs et les usagers, conscients de son importance, ont accepté de la payer à son juste prix. De fait, le mètre cube d'eau y coûte environ un euro de plus qu'ailleurs en Guadeloupe, de manière à financer des investissements à long terme. Je salue le choix politique de Mme Louis-Carabin. M. Christian Gatoux a lui aussi su nous écouter et convaincre le président de Cap Excellence d'investir sur le long terme.