Il faudrait, là encore, améliorer l'exploitation, c'est-à-dire, commencer par entretenir régulièrement des ouvrages ayant bénéficié d'investissements, en particulier de l'Union européenne, qui demandera sans doute un jour des comptes à la Guadeloupe.
La conception de certains ouvrages déjà réalisés n'est probablement pas adaptée au climat de la Guadeloupe, comme le montre l'exemple de Petit-Bourg.
Des investissements s'avéreront aussi nécessaires, même si le problème de leur financement s'annonce plus simple à résoudre, puisqu'il est possible, comme cela a d'ailleurs déjà été le cas en Guadeloupe, de recourir à des fonds européens.