Non. Il subsiste toujours un espoir de recouvrer une créance, même prescrite. Les opérateurs espèrent encore récupérer les sommes que leur doivent notamment les grandes entreprises et les hôtels.
Le président du SIAEAG a chiffré, à la faveur d'une confusion, les créances du syndicat à 6 millions d'euros. Nous connaissons parfaitement ces créances « pourries », vieilles de plus de dix ans et plus, dont nous avons demandé l'admission en non-valeur, que le SIAEAG a pourtant refusée.