Non. Nous étions partie civile afin d'avoir accès à ces éléments. Curieusement, ni notre constitution ni celle des associations d'usagers n'ont été retenues. Nous étions très étonnés qu'un juge d'instruction ne suive pas les débats afin d'interroger tous ceux dont le nom avait été cité, comme celui du préfet de l'époque, du sous-préfet, de la femme du sous-préfet, du trésorier-payeur général, de M. Victorin Lurel, de différents élus de Guadeloupe membres du conseil syndical du SIAEAG.