M. Hernandez était consulté sur le montant des factures des Journées de l'eau. Pour se défendre, il soulignait que ces prestations avaient été validées à l'unanimité par le conseil syndical et avaient fait l'objet d'un contrôle de légalité. Le trésorier-payeur général a payé. Je n'ai pas eu accès aux factures, mais si elles semblaient surprenantes, le contrôle de légalité et le trésorier payeur auraient pu alerter.
Ce procès était étrange puisque les autres membres du conseil syndical du SIAEAG étaient partie civile contre M. Hernandez alors qu'ils auraient dû tous répondre aux questions. Il n'a servi qu'à faire croire aux Guadeloupéens qu'on avait agi.