Elle a été protégée. Elle n'a pas été citée dans le procès du SIAEAG et aucun de ses responsables n'a été auditionné, pour éviter de faire ressortir les liens qui unissent la Générale des eaux, donc Veolia, et l'État. Elle est partie avec un pactole. Personne ne sait exactement ce qui s'est passé. Je pense même qu'elle n'a pas vraiment quitté la Guadeloupe. Elle est peut-être toujours présente sous d'autres formes. Je pense que l'objectif est de reprendre des marchés puisque les travaux et la gestion privée de l'eau rapportent de l'argent. Nous restons sur notre position d'un service public assuré par une régie publique. Les travaux doivent alors être réalisés par la régie ou des entreprises basées en Guadeloupe.