Mais l'État ne prend pas en charge le financement du traitement de l'eau potable au charbon actif, qui coûte extrêmement cher. D'autre part, des associations nous ont signalé que 8 à 9 % seulement des terres figurent dans la cartographie des teneurs en chlordécone ; dans ces conditions, comment se fera la décontamination, plus qu'urgente ?