Je ne me rappelle plus le montant exact, plusieurs milliards d'euros sans doute. Nous avons, à l'époque, estimé nécessaire un apport financier de tous les responsables, et surtout de l'État qui aurait dû nous accompagner.
Certains élus ont fait preuve d'incohérence, craignant qu'au cas où les problèmes d'eau seraient résolus, le mérite en revienne à Jacques Gillot, en tant que président de l'office de l'eau. C'est dommage.