Cette société est partie en raison d'un début de prise de conscience de certains élus. Elle a perdu un marché que, d'après ses responsables, elle n'aurait pas dû perdre. Elle ne pensait pas qu'une autre structure monterait un dossier convaincant, à même de l'emporter sur sa propre candidature.
Les réseaux locaux et nationaux de la Générale des eaux ont dû lui faire sentir que le mécontentement de ses agents et de la population allait croissant. Ses employés venaient nous trouver, car ils ne souhaitaient plus travailler pour cette société qui ne fournissait pas les services attendus, y compris par rapport à son personnel.
La Générale des eaux a saisi l'opportunité de récupérer des indemnités de 13 millions d'euros, au montant en réalité supérieur, car le problème du SIAEAG n'est toujours pas réglé.