L'humain doit avoir le dernier mot. Disposer d'aides à la décision, oui, mais vous avez raison d'inviter à la prudence car ces algorithmes sont toujours développés sur des critères. Ces critères, s'ils permettent de mener des investigations, ne doivent en aucun cas se révéler discriminatoires. Ce serait évidemment contraire à notre droit.