Lors de la mise en place de cette carte d'identité électronique, avez-vous eu un débat sur la biométrie ? Compte tenu de ses caractéristiques – une carte à puce qui permet la lecture de données, l'authentification de l'identité et une signature électronique –, quel est son niveau de protection ? Avez-vous à faire face, comme c'est le cas en France pour un certain nombre de documents, à une délinquance liée à la fraude à l'identité, donc à des problématiques d'usurpation d'identité ? Chez nous, elle s'est fortement développée à travers des chaînes de falsification qui parviennent à pénétrer des systèmes pourtant sécurisés.