Les policiers savent que toute situation peut dégénérer et qu'ils ne la maîtrisent jamais totalement. Ils ont peut-être eu peur que, derrière cette porte, il se passe autre chose, à savoir un homme muni d'une ceinture d'explosifs, la présence de plusieurs personnes armées, l'organisation d'un guet-apens, etc. Ils ont pu imaginer de nombreuses situations et cette imagination a généré de la peur.
Traditionnellement, ce sont des équipes spécialisées telles que celles de la BRI ou du RAID qui mènent les interventions terroristes. Or il s'agissait d'une affaire de droit commun.