L'affaire Halimi a créé une double émotion liée, d'une part, à l'atrocité du meurtre et à son caractère antisémite, et, d'autre part, à la décision d'irresponsabilité. Cela génère une sorte de vision inversée, à savoir que des faits très graves ont été commis sans que les victimes ne soient ni entendues ni reconnues dans leur qualité de partie civile.
Quelles pistes d'amélioration proposeriez-vous pour une meilleure reconnaissance des victimes dans une affaire de cette nature ?