Les passages à l'acte de jeunes désœuvrés sont fréquemment favorisés par une lecture orientée de textes au sein d'une mosquée de proximité. Nul besoin pour cela d'avoir fait allégeance à Daech, etc. On parle alors d'un « djihadisme d'atmosphère ».
Je suis persuadé que si Kobili Traoré avait été tué par la police, comme lui-même s'y attendait, la qualification terroriste aurait été retenue à l'ouverture du dossier, pour justifier cette mort.