Peut-être avait-elle été « intoxiquée » par le procureur Molins. Je pense avoir apporté suffisamment d'éléments dans ce dossier pour justifier d'interroger le procureur Molins sur ses orientations dans ce dossier. S'il a rapporté aux dirigeants de la communauté juive qu'il ne s'agissait pas d'un crime antisémite, je pense qu'on peut, au regard du dossier, parler d'une « intoxication ». En effet, le crime est manifestement antisémite.