Je l'ignore. Je sais que nous disposions des moyens de forçage mais j'ignore s'ils les ont utilisés. Je ne peux vous répondre parce que j'étais placé en position de commandement des opérations de police. Je ne me trouvais donc plus derrière la porte, puisque j'étais redescendu pour organiser les opérations. Je tenais à assurer le recueil possible des personnes si elles avaient dû être défenestrées. Bien entendu, comme je l'ai souligné, il est toujours possible de banaliser après coup l'affaire Diarra en se demandant pourquoi les forces de police ne se sont pas concentrées sur Mme Halimi.