Vos explications sont extrêmement claires, ce dont je vous remercie. Il avait été indiqué, par votre prédécesseur, qu'après avoir entendu M. Traoré émettre des sons en arabe, seul le silence était présent. Dès lors pour eux, il n'y avait pas d'état de nécessité caractérisé. Nous confirmez-vous que telle est bien la situation que vous évoquez ? Confirmez-vous qu'en l'absence d'appels au secours et d'un état de nécessité caractérisé, le protocole imposait de sécuriser le palier et d'attendre l'intervention de l'équipe appelée par la salle de commandement ?