Ces hypothèses demeurent d'actualité. Le sujet traverse une phase avec une forte dimension onirique. Il lui en restera des traces. Ces dernières ne sont pas une narration complète du début à la fin. Elles peuvent représenter des flashs, des bribes. Au fur et à mesure du temps qui passe, on s'aperçoit que ces traces deviennent de moins en moins claires pour le sujet. Il va de mieux en mieux et n'a pas envie de se souvenir de son acte terrible. Toutefois, cette volonté ne constitue pas nécessairement un système de défense face à la justice. Dans certains cas, le sujet peut édulcorer ou masquer des éléments de réalité. Il s'agit d'une situation relativement banale.