Au lendemain du meurtre de Sarah Halimi, la couverture médiatique est quasiment nulle. Une femme française médecin juive a été défenestrée à Paris dans une sorte d'indifférence médiatique. Nous étions alors dans un contexte électoral. Il a fallu attendre la formation du gouvernement pour médiatiser cette affaire. Avez-vous une explication à ce silence ? Pour certains, l'échéance électorale majeure a conduit à minimiser la couverture médiatique de cette affaire.