En tant que responsable de la communauté juive de France et n'étant pas partie prenante dans le dossier, j'étais en retrait. Les avocats ont maintenu cette pression. En revanche, chaque représentant des institutions juives qui rencontre des magistrats évoque avec eux ce dossier. Il s'agit d'une sorte de discussion de salon améliorée et non de pressions. Seuls les avocats pouvaient peser en ce sens sur le dossier. Dans mes fonctions de président, je n'ai plus évoqué cette affaire avec François Molins.