J'ai apprécié que vous introduisiez le propos en indiquant qu'il s'agissait d'une évidence. Qu'est-ce qui pourrait permettre de réparer – le judaïsme étant particulièrement attaché à la question de la réparation – cet antisémitisme qui ne date pas d'aujourd'hui et qui persiste toujours ? Votre précision quant au travail du Fonds social juif unifié est importante, car il est nécessaire de rappeler l'existence de la précarité. Pour moi, l'antisémitisme est d'ailleurs une précarité morale contre laquelle il faut lutter. Quelles sont les pistes que vous pourriez nous soumettre en ce sens ?