J'aurais souhaité vous poser une question sur la police et sur le changement de doctrine d'intervention que nous avions fait effectuer après l'audition de l'ancien ministre de l'intérieur M. Bernard Cazeneuve, à la suite de notre reconstitution au Bataclan. Dans l'affaire qui nous intéresse, la police était derrière la porte et disposait des clés. Elle aurait pu rentrer, mais elle ne l'a pas fait. Toutefois, nous n'aurons pas le temps de vous entendre sur cette question. Je tiens à vous remercier pour vos propos enrichissants et documentés. Nous sommes heureux de voir des gens de votre compétence, auparavant à la représentation nationale et aujourd'hui dans le civil.