Le juge d'instruction est saisi de faits. Or ces faits se sont déroulés le 4 avril 2017. Il est impossible de remonter quelques années auparavant. Sauf erreur de ma part, dans le dossier, il est indiqué, à les supposer établies, que ces injures antisémites auraient été proférées par d'autres personnes que Kobili Traoré lui-même.