À l'époque, seule figurait au dossier l'expertise du Dr Zagury, dans laquelle figurait que son discernement était seulement altéré et non aboli. En conséquence, nous avons considéré, ma collègue et moi, que l'audition en cabinet dans l'enceinte d'un Palais de justice était le préalable à une comparution devant la cour d'assises.