. Quand il avait besoin, il m'appelait.
Le mis en cause est arrêté sur place. Je comprends qu'il a d'abord séquestré une famille de confession musulmane. Il est passé ensuite par le balcon chez Mme Halimi et a commencé à la frapper. Je ne me souviens plus si on le comprend le soir même ou le lendemain en déroulant les auditions, mais je peux vous restituer la chronologie des faits. Il est entré chez cette dame, il l'a frappée et a poussé des cris comme « démon » et « Allah akbar ». Il a poussé le vice à dire qu'elle allait se suicider.