Si nous avons une suspicion, nous produisons des avis et la section antiterroriste évalue le dossier en comparant avec les services de renseignement, si le terroriste est connu, etc. Je ne sais pas si une demande d'évaluation a été faite pour cet homicide. Je ne sais pas si François Molins a fait directement une évaluation avec la section antiterroriste. Nous réalisions souvent des avis pour des infractions commises au cri d'« Allah Akbar », mais le criblage revenait négatif et la section de droit commun gardait l'affaire.