À la personne qui m'informe des faits. C'est le cadre d'astreinte qui n'a pas activé. J'ai demandé de rappeler pour que la BRI vienne. Au début, on ne savait pas qu'il s'agissait d'une dame de confession juive. Je pensais qu'il était question de personnes de la communauté chinoise, compte tenu d'évènements antérieurs.
Le parquet de Paris est très sensibilisé sur les questions de discrimination. Nous aurions, peut-être, pu ouvrir sur cette circonstance aggravante, mais ce qui a pu nous induire en erreur, à l'époque, est sans doute ce que nous avons pensé être une séquestration de la famille Diarra. Elle était de confession musulmane et nous n'avions pas d'actes antisémites caractérisés. Nous avons donc conclu à l'œuvre d'un déséquilibré.