On savait très rapidement qu'il n'était pas armé. Dans le dossier, il est précisé qu'une colonne d'intervention était attendue, mais plus de vingt policiers étaient déjà sur place. Si cent policiers sont nécessaires pour interpeller un homme qui n'est pas armé, nous avons sans doute un problème dans notre doctrine d'intervention. Lorsqu'une personne se fait massacrer, on attend de la police qu'elle intervienne, même au péril de sa vie.