. S'ils avaient eu toutes les informations que nous avons, ils seraient intervenus. Je n'en doute pas. À vingt contre un, ils l'auraient fait. C'est leur cœur de métier. Vous vous engagez dans la police nationale pour sauver des vies. Qu'ils aient eu une mauvaise appréciation de la situation, certainement, puisque nous avons le dossier maintenant.