Vous avez constaté la présence sur place de vêtements qui n'appartenaient pas à la famille Diarra. Nous savons que Traoré s'est lavé les pieds dans un lavabo, qu'il a fait ses ablutions et récité des sourates du Coran. Ces éléments nous apparaissent comme des signes d'une adhésion religieuse radicale. Pour quelle raison ne les mentionnez-vous pas à la procureure, Mme Johanna Brousse, sur les lieux ?