Notre commission a pour objectif d'identifier d'éventuels dysfonctionnements. Or il me semble, à titre personnel, que certaines affirmations ne sont pas confirmées par la procédure.
La question du vigik demeure problématique. Je rejoignais M. le Président lorsqu'il s'agissait d'une question posée, mais j'entends aujourd'hui dans cette commission une affirmation selon laquelle les clés auraient été envoyées aux policiers. Or la cote D 367, l'audition de Mme Hetan Diarra, fait état de la remise d'un vigik par les policiers intervenants dont elle prend acte de la restitution. Cette question est importante, mais il n'est pas acceptable, dans le cadre de cette commission, de procéder à des affirmations dès lors que des éléments concrets de la procédure les infirment.