Non, elle n'avait jamais été convoquée par la police, qui ne connaissait même pas son existence. Son témoignage nous paraissait pourtant très important pour l'enquête.
Concernant l'article du Parisien, j'ai travaillé dans un journal d'information locale, et j'en connais le fonctionnement. Chaque matin, un membre de l'équipe de rédaction procède à une tournée par téléphone des commissariats et des pompiers pour recenser les nouvelles de la nuit. C'est sûrement ce qui s'est passé dans le cas du Parisien. Un policier a probablement parlé à un journaliste du Parisien de cette affaire de défenestration. Je peine en revanche à comprendre la confusion sur l'identité de la victime, alors que les policiers ont tout de suite su qui elle était, même si le corps était très abîmé.