En êtes-vous étonné ? M. William Attal m'a appelé le vendredi suivant le crime. J'étais avec deux collaborateurs qui ont entendu la conversation, j'avais activé le haut-parleur, car je sentais que le moment était historique. J'ai eu beaucoup de mal à comprendre pourquoi personne ne parlait de cette affaire. Il a fallu attendre, après l'élection législative, la première séance des questions au gouvernement pour que je demande et obtienne de mon groupe le droit de poser une question sur le sujet. À ce moment, j'employais le terme de déni pour aborder cette affaire. Comment expliquez-vous que personne ne parlait de cette affaire, à l'exception de ces deux reportages ?