Son discernement était suffisant pour maquiller les choses. Enfin, dans la tradition juive, lorsque plusieurs avis rabbiniques sont à disposition, il y a toujours un avis sur lequel s'appuyer. Selon l'un des psychiatres, l'abolition du discernement n'était que partielle. Je ne comprends pas pourquoi cet avis n'a pas été retenu, puisqu'aucune règle n'exige que l'avis soit majoritaire.