Je veux expliquer l'émotion autour de cette affaire. Ces questions ne se poseraient pas si, comme la France le pensait, en deuxième ou troisième instance, il y avait eu un procès. Nous aimons notre justice et lui faisons confiance. Comme dans l'affaire Outreau, cette commission d'enquête parlementaire ne devrait pas être nécessaire. Quand j'entends que les deux avocats réfléchissent à amener cette affaire devant la juridiction israélienne, je suis embarrassé. La famille souhaite une révision de ce dossier. Qu'en pensez-vous ?