Je n'ai pas de propos liminaire, dans la mesure où, comme je l'ai indiqué aux administrateurs de la commission, j'ai quitté la chancellerie le 10 mai, alors que l'instruction était à peine lancée. Je n'ai donc, comme ministre, qu'une connaissance parcellaire de cette affaire et j'en ai eu davantage connaissance en écoutant les auditions auxquelles vous avez procédé qu'à travers mes fonctions à la chancellerie.