Continuons ces débats dans le calme. Je voudrais seulement que vous vous mettiez une seconde à la place de la famille de Mme Halimi. Il n'y a qu'une victime, Mme Halimi, qui a été massacrée, et je n'ai d'empathie que pour sa famille, ses enfants, ses petits-enfants, qui ne la verrons plus jamais et qui nous regardent. Nous ne sommes pas contre vous. Des questions peuvent être dérangeantes, mais nous devons les poser, chacun avec son style, mais avec sincérité et honnêteté
Pourriez-vous répondre aux questions de préméditation et de visite sur les lieux ?