Dans ce dossier, je n'ai ressenti aucun impact. Parfois, la pression est extrêmement lourde pour les juges d'instruction traitant des dossiers médiatiques, ce que j'ai beaucoup ressenti durant cette période. Cette situation peut être difficile à vivre, d'autant que les juges d'instruction sont liés par le secret de l'instruction et que nous n'avons pas la possibilité de communiquer. Seul le procureur de la République peut prendre la parole et faire des communiqués pour rectifier des inexactitudes qui auraient été dites dans la presse. Le juge d'instruction ne dispose pas de cette faculté.