À ce titre, le procureur Molins nous a confié avoir été surpris par le manque de couverture médiatique de cette affaire. Le climat présidentiel a sans doute amené la presse à se désintéresser de l'affaire. En avez-vous été surprise ? Aujourd'hui même, très peu de médias s'intéressent à notre commission d'enquête. À titre personnel, je dois constater que cette affaire beaucoup plus grave intéresse moins que, par exemple, l'affaire Benalla.