Ma réponse est franche et claire : non, jamais. Je sais toutefois que cela a existé et je l'ai observé.
La situation est devenue plus complexe aujourd'hui en raison de l'intérêt des médias pour les affaires suivies au PNF. Il m'appartient de veiller à ce que des pressions insidieuses ne viennent pas orienter l'action du ministère public, notamment en prêchant le faux pour savoir le vrai. J'observe parfois des incursions qu'il nous appartient de traiter.