Bien sûr ! L'esprit du législateur était, me semble‑t‑il, d'appeler l'attention des juges sur ce point de déontologie. La formalisation de l'entretien déontologique est d'ailleurs une bonne mesure, qu'a soutenue la Conférence générale. Avant même l'élection, les candidats sont reçus par les présidents de tribunaux, pour une première évaluation, tout le monde n'étant pas fait pour cette mission, et la discussion permet déjà de déceler d'éventuels conflits d'intérêts.